Pourquoi as-tu choisi d’entrer chez DIAGMA début 2013 ?

F.D. : A l’issue de mon stage de fin d’étude très opérationnel effectué chez Renault à Flins, la dimension de réflexion intellectuelle me manquait. Je connaissais DIAGMA à travers les interventions qu’Yves Dallery, Hugues Doligez et Aurélien Jacomy avaient effectuées à Centrale. De plus, je connaissais Myriam Jouny qui était en stage chez DIAGMA. J’ai donc postulé avec l’envie de rester dans le concret, mais aussi d’apprendre comment améliorer les organisations en tant qu’ingénieur.

Qu’as-tu appris durant tes six ans de consulting chez DIAGMA ?

F.D. : Tout d’abord l’approche chiffrée et argumentée. Aujourd’hui, j’aborde chaque problématique avec le souci de la rendre concrète. C’est l’approche la plus efficace et la plus universelle pour se faire comprendre de n’importe quel décideur. Ensuite, le goût de la modélisation : simuler une autre configuration via des approches chiffrées et voir leurs évolutions si l’on fonctionne autrement. Enfin, la capacité de synthèse, pour voir l’essentiel et faire passer les bons messages. Plus largement, la quarantaine de missions que j’ai effectuées m’ont permis de réaliser que le tissu industriel et des entreprises en France était très riche, varié en taille et en CA. En fait, il y a plein de sociétés qui vont bien avec des domaines d’activités hyper variés, allant de la fabrication de perfuseurs aux machines à vendanger ! Je trouve cette variété passionnante et peu de choses résistent à l’approche quantitative en définitive.

Pourquoi as-tu accepté de devenir Ambassadeur des Alumni DIAGMA ?

F.D. : Olivier Dubouis m’a parlé de cette idée, et comme c’était au moment où j’allais quitter la société, j’ai tout de suite accepté. C’est aussi ma première expérience professionnelle. Et puis, DIAGMA est une entreprise très attachante. Elle a une réelle volonté de développer les gens et un lien fort se tisse entre les consultants. C’est une communauté que j’apprécie et ça me fait plaisir de la faire vivre.